Selon la juriste, la société sénégalaise ne reconnait pas le vrai statut de la femme. « Actuellement, je peux dire que je souffre, parce ce que nos filles sont utilisées comme des objets sans valeur. Le sort de nos filles me fait souffrir, car on parle tout le temps de violences, de viols, de manque de considération. C’est contraire à la valeur, à la dignité de la personne. Il faut que ça cesse », a t-elle regretté dans les colonnes de Enquête.