Le quotidien la libération révèle que le départ d’Aminata Touré de la présidence du Conseil économique, social et environnemental (CESE) est causé par une mauvaise gestion des finances de ladite institution.
Selon la libération, si le chef de l’État l’a limogée sans craindre qu’elle se révolte, c’est parce qu’il détiendrait des «bombes» sur l’ex-ministre de la Justice.
Pis, indiquent des sources du journal, l’agent comptable particulier (ACP) du CESE a même été relevé de ses fonctions.