La Commission nationale de régulation des loyers (Conarel) est assaillie. Depuis sa mise en place, en février dernier, elle ne cesse de recevoir une pluie de plaintes.

Entre mars, entrée en vigueur de la baisse des prix du loyer, et mai, la Conarel a enregistré 3629 requêtes. Selon le secrétaire exécutif de la Conarel, Idrissa Baldé, repris par Les Échos, les 925 ont été déposées en mars et les 2704 entre avril et mai.

«Les plaintes sont l’expression d’une réaction d’opposition à l’application du nouveau texte, malgré leurs diverses formulations», constate Baldé.