Incarcéré pour une autre affaire, Jacob Zuma doit également répondre de 16 chefs d’accusation de fraude, de corruption et de racket.
Ces actes sont liés à l’achat en 1999 d’équipement auprès de plusieurs entreprises d’armement européennes.
Après la multiplication des violences meurtrières suite à son emprisonnement, l’ancien président a été contraint de se présenter à la justice depuis la prison dans laquelle il est détenu, afin d’éviter une nouvelle vague de violence.
Bien que l’audience ait été virtuelle, la sécurité a quant à elle été renforcé autour de la haute cour de Pietermaritzburg, la ville natale de l’ex-président.