L’observateur dans sa livraison du jour est revenu sur l’accusation de viol du fils de Cheikh Yerim Seck . Selon le journal,
Mais ce jour-là, elle est la seule sur les lieux avec son camarade de classe. Le jeune garçon verrouille toutes les portes de la maison, avant de la contraindre à coucher avec lui. D’après la mère, sa fille a cédé sous la menace du jeune Souleymane Seck qui a filmé leurs ébats. Des images que le garçon va, de l’avis de sa victime, montrer à tous les élèves de leur classe de pour l’humilier.
Mais, cette version servie par la jeune fille à sa mère est contredite par une audio qui a circulé sur la toile. Le document sonore qui rapporte la conversation téléphonique entre les deux jeunes, l’on entend une voix attribuée à la victime présumée qui dit assumer la relation sexuelle, mais non sans déplorer que son ami ait montré les images de leur intimité à ses camarades.
Ce que Souleymane Seck réfute. D’après des informations de L’Observateur, l’élément sonore est versé dans le dossier par les avocats du jeune garçon. Un argument qui, à leurs yeux, constitue «une preuve que le viol n’est pas établi.